Avec Hélène, Jenina et Xin-Yang, nous avons terminé de tailler les ceps de vigne sous les fenêtres de la Chimie 2.
Ensuite, nous avons récupéré les herbes sèches qui avaient été stockées à l’automne près des petits fruitiers afin de pailler les plantations de la semaine passée (fraisiers et la ciboulette).
Par ailleurs, les élèves ont désherbé les aulx et échalotes, afin de les dégager des adventices qui commençaient à les cacher.
Jenina et Viviane ont planté deux fraisiers (issus du marcottage de fraisiers remontants provenant de M. Thouand). Ils ont été placés dans le carré central à l’avant du jardin.
En même temps, Sébastien et M. Thouand ont déplacé le pied de ciboulette qui se trouvait à cet endroit, afin de le placer dans le carré des simples. Les boutures de saule réalisées l’an dernier tout autour de ce carré des simples ont été palissées entre elles afin de réaliser une délimitation végétale de ce carré.
Depuis fin janvier, des narcisses sont déjà en fleur, dans le patio et vers le potager (au pied du prunier).
Les crocus sont plus en retard, mais commencent à éclore : au pied du prunier, ce sont des crocus violets, et à l’entrée du lycée les quelques crocus — jaunes — que nous avions plantés en décembre sont éclos.
À l’entrée du lycée, les narcisses et jacinthes dont nous avions planté les bulbes à l’automne commencent seulement à pointer leurs premières feuilles. De même, les lys transplantés commencent à émettre une nouvelle tige feuillée, dont le bourgeon terminal commence à être bien visible. Une deux bruyères, également récemment plantées, est également en fleurs.
Dans le patio, outre des narcisses et des crocus, les violettes sont en fleur, ainsi que des primevères. Il y a même un souci qui fleurit déjà !
À la rentrée des vacances, les derniers narcisses devraient également être encore fleuris, accompagnés des tulipes dont certaines pointent déjà leurs feuilles (dans le parking). Les forsythias devraient également être tout jaunes : les bourgeons floraux sont prêts à éclore. Et les camélias plantés il y a un an dans la cour devraient encore avoir des fleurs.
Par ailleurs, avec Xin-Yang et une autre élève de terminale, nous avons sortis les plantules issues de graines mises à germer avec les terminales spécialité SVT : avoine, tournesol, potiron, fèves,… Il n’est pas acquis que les racines arrivent à se développer suffisamment vite dans le sol pour permettre aux plantules de survivre, mais l’on aura essayé…
Sébastien et Xin-Yang ont dégagé le prunier, en coupant à la fois tous ses rejets situés sous le point de greffe, et en taillant les branches de vieux cerisier ornemental et du mûrier qui lui faisaient de l’ombre et nuisaient à son développement.
Au pied du prunier, les narcisses sont tous en fleurs, et les crocus s’apprêtent à s’épanouir.
Ensuite, nous avons planté une bignone (Campsis radicans, variété ’Indian Summer’) au coin de la façade du nouveau bâtiment. Cette plante grimpante, aux fleurs en trompette rouge orangé, formera ainsi en été un beau massif fleuri au-dessus des baies vitrées des CPE.
Le long de l’allée d’entrée dans le lycée, Xin-Yang a planté un céanothe rampant, ou lilas de Californie (Ceanothus thyrsiflorus var. repens).
Nous avons également taillé en partie le sureau qui gène l’accès à l’actinidia et au noisetier. Cela a permis d’avoir des tuteurs afin de protéger les plantations qui longent l’allée d’entrée. En effet, des élèves coupent par là, écrasant les plantations ; une des sauges mises en place à l’automne a ainsi été brisée…
Comme Xin-Yang était la seule participante à l’atelier, et que le temps se prêtait peu à travailler dehors, nous en avons profité pour remplir les mangeoires et observer les oiseaux.
Nous avons notamment observé un verdier, espèce qui n’avait plus été contactée au lycée depuis plus d’un an.
Benjamin et Xin-Yang ont ramassé les kiwis. Il était tout juste temps, car il gelait déjà depuis aujourd’hui. Les kiwis doivent être ramassés avant les gelées, afin qu’ils ne soient pas gâtés ; il faut ensuite les conserver au frais, puis les faire mûrir en les plaçant au chaud, ou en présence d’éthylène (par exemple à proximité de pommes).
Ils ont également ramassés quelques tubercules de topinambours, que nous avions plantés un an auparavant. Ils se sont bien multipliés, en profitant de la richesse du sol du jardin !
Enfin, Benjamin et Xin-Yang ont travaillé à la grelinette deux planches, afin de préparer le sol pour les cultures de printemps. Même si le sol n’est pas très argileux, il est intéressant de réaliser ce travail du sol avant les gelées, car le gel va casser les mottes de terre et tuer les plantes adventice dont les racines ont été mises à l’air.
Après une réunion de travail des écodélégués, certains ont poursuivi les plantations : arbre à miel devant le bureau des CPE, goumi du Japon vers le potager, micocoulier dans la cour vers la Chimie 1.
Enfin, Asma, Ayoub, Dylan et Ismaeil ont œuvré à débitumer la cour afin de pouvoir y planter des arbres et renaturer le sol.
Avec les élèves de l’atelier jardin Benjamin, Sébastien et Xin-Yang, nous avons déplacé diverses plantes fleurissant au printemps, qui étaient peu visibles autour du potager.
Un des lys au pied du prunier a été placé dans le massif de fleurs devant le bureau des CPE.
L’iris qui végète près de l’hôtel à insectes a été scindé en deux, pour pouvoir en placer près des arbres de Judée.
Les iris de Hollande, à bulbes, qui avaient déjà été déplacés l’an dernier pour éviter d’être écrasés par les voitures se garant le long du potager, ont été mis en place le long de l’escalier au niveau de la salle Gisèle Halimi. Deux autres ont également été placés près des bruyères, à l’entrée du lycée.
À cet endroit ont également été transplantés deux des crocus situés au pied du prunier, dont les feuilles émergeaient déjà. Sous le prunier émergent également les premières pointes de feuille de narcisses.
Avec Benjamin, nous avons créé devant le lycée (au niveau du bureau des CPE) un massif de tulipes (triomphe) et narcisses (grande couronne), accompagnées de quelques anémones (simples de Caen). La terre, remise en place il y a moins d’un an, est très argileuse et donc très lourde, très difficile à travailler.
Nous avons ensuite continué de mettre en place des bulbes dans la bande fleurie qui descend vers l’entrée du lycée : tulipes autour du lys ; perce-neige (icariae), tulipes, anémones entre les deux bruyères.
Avec Jenina, Sébastien, Xin-Yang, nous avons mis en place des bulbes de fleurs de printemps devant le lycée : jacinthes et narcisses (grande couronne) le long de l’avenue, crocus dans la bande fleurie qui descend vers l’entrée du bâtiment.
Les crocus sont des bulbes qui n’ont pas été plantés à l’automne 2022, il reste à espérer qu’ils soient encore vivants.
Avec Ayoub, écodélégué, nous avons transplanté trois pieds d’aubépine à l’entrée du parking des personnels, afin de former une haie contre la grille de l’avenue. Ces aubépines faisaient partie de ces arbustes qui se sont installés dans la pelouse derrière les parkings des logements, et que nous avons repérés en octobre avec quelques écodélégués, afin de les transplanter.
Par la même occasion, nous avons prélevé un tout jeune noyer, de l’année, que nous avons provisoirement placé avec les aubépines avant de décider où nous le planterons définitivement.
Avec les élèves de l’atelier (à midi) et des écodélégués (l’après-midi), M. Solbes et moi-même avons planté devant le lycée différentes plantes ornementales (sauges, bruyères, chèvrefeuille, oranger du Mexique, lys, hortensias, etc.).
Merci à Hélène, Jenina, Xin-Yang; Ayoub et Khaled !
Benjamin, Hélène, Jenina, Sébastien, Xin-Yang ont mis en place des aulx (ceux qui avaient échappé à notre récolte de rentrée), des oignons, et ont complété les semis de pois et de fèves qui avaient été faits précédemment.
Nous en avons profité pour déguster les dernières (?) framboises du potager !
Benjamin, Hélène, Jenina, Sébastien, Xin-Yang ont récolté les échalotes plantées l’an dernier, ainsi qu’une très grosse courgette, passée inaperçue les séances précédentes. Un premier potiron a également été ramassé.
Les coings déjà murs ont été ramassé, sur l’arbre ou au sol. Nous avons enfin pris soin d’écarter les fruits atteints de moniliose, afin qu’ils ne contaminent pas les fruits sains. Des figues ont également encore été récoltées.
Enfin, dans la planche où étaient les échalotes (et les fèves), nous avons semé deux rangs d’épinards (géant d’hiver). C’est tard, mais avec un mois d’octobre aussi chaud, nous pouvons espérer qu’ils croissent assez vite pour les déguster en fin d’hiver.
Ce mercredi, dernier jour de cours au lycée, Pipidha a été rejointe par Benjamin, Frédéric et Sébastien.
Pipidha a arrosé les jeunes cucurbitacées (potiron, courgette, melon) qui ont germé ces derniers jours, ainsi que les choux. Les élèves ont également sélectionné le plus bel individu parmi tous ceux qui avaient germé au niveau de chaque poquet de graines.
Ensuite, nous avons taillé les trois ceps de vigne, qui sont en fleurs. Les fils de fer ont été retendus, les sarments y ont été attachés, et nous avons taillé l’extrémité des sarments.
Avec M. Solbes, des écodélégués, notamment Karthika et Saraniya, accompagnés d’autres élèves volontaires, ont arrosé les plantations, que ce soit au patio, dans la cour ou vers le stade.
Cela était particulièrement nécessaire : il n’a pas plus depuis trois semaines, aucune pluie n’est prévue avant le week-end prochain, l’ensoleillement est important comme les températures, accompagnées d’un vent soutenu qui augmente l’évapotranspiration ; si l’on rajoute que le sol sablo-limoneux du lycée ne retient pas l’eau, il y a vraiment un danger que les plantations effectuées par les élèves ne passent pas la saison…
Merci donc aux élèves qui ont fait cet effort pour sauver leurs plantations !
Ce vendredi, Alya et Ambreen sont restées près de deux heures pour semer différentes fleurs dans l’espace vert entre le nouveau bâtiment et l’avenue. Elles ont semé des ipomées au pied des arbres qui ont été plantés lors des travaux ; ce sont des plantes grimpantes, qui pourront s’enrouler le long du tronc des arbres. À proximité, elles ont semé à la volée un mélange de graines de « fleurs champêtres », aux endroits où la pelouse récemment semée était assez éparse.
Alya et Ambreen ont également fait un gros travail d’arrosage, aussi bien dans le patio qu’au potager. Cela sera nécessaire, car il n’est pas prévu de pluies dans les deux prochaines semaines. Et cela permettra également aux semis de cette semaine de germer. D’ailleurs, les potirons semées il y a dix jours commencent à sortir : leurs deux cotylédons sont apparents.
À midi, Pipidha et Xin-Yang ont désherbé une nouvelle planche, celle où avaient été semé à l’automne des laitues et des radis. Elles ont ainsi pu y semer des melons (charentais) et quelques courgettes (vertes noires maraîchères).
Dans le même temps, Drounty a récolté les fèves et de la rhubarbe, et a arrosé les semis de la semaine dernière ainsi que les choux.
Ce mercredi après-midi, Benjamin, Frédéric et Sébastien ont commencé par arroser les semis effectués ce matin par Xin-Yang, puis nous sommes allés au patio où nous avons taillé les rosiers et les érables qui se sont installés au milieu. Les branches basses du sureau ont été élaguées, ce qui libère de l’espace et apporte davantage de lumière dans le patio.
Les tailles des arbres ont commencé par être transportée au fond du jardin, mais devant l’ampleur de la tâche, nous avons choisi de les laisser dans le coin le plus discret du patio, sous le sureau.
À midi, Xin-Yang avons désherbé la planche où étaient les épinards, qui sont bien montés maintenant. Nous avons ainsi pu y semer des graines de potiron (rouge vif d’Étampes).
Dans le premier carré, nous avons également mis en place un poquet de graines de melon, et un poquet de graines de courgette.
Avec Xin-Yang à midi, Benjamin, Ibrahim et Sébastien en début d’après-midi, et M. Solbes en fin d’après-midi, nous avons commencé à dégager les plantations d’arbustes et les planches du potager de la végétation qui avait considérablement poussé pendant les vacances, et commençait à cacher voire étouffer nos plantations.
Un beau geai s’est posé au bord du potager, en face de la chimie 2, alors que nous nous apprêtions aller au jardin.
À côté, il semble que des mésanges charbonnières occupent le nichoir, mais leur présence n’a pas pu être confirmée — à étudier.
Le pommier est en fleur, ainsi que les tulipes au pied. Derrière lui, une première asperge est en train de sortir, à côté de la rhubarbe.
Au patio, les tulipes sont en fleur, après les narcisses, et avant la pivoine.
Au nord, de la chélidoine a été repérée pour la première fois au lycée, au pied de la haie de laurier cerise. Cette plante de la famille des papavéracées est appelée « herbe à verrues », car on attribue traditionnellement à son suc jaune le pouvoir de guérir les verrues ; ce qui est certain, c’est qu’il contient de nombreuses substances toxiques qui servent de moyen de défense contre les herbivores.
À quatre heures, Drounty est resté pour planter les choux qui attendaient dehors depuis dix jours ; ils ont souffert de cette attente, mais on peut espérer qu’ils arrivent néanmoins à prendre. Ce sont des choux de Milan (variété Manon), et des choux rouges (variété Romanov).
Drounty a ensuite arrosé l’essentiel des plantations, afin d’éviter qu’elles ne souffrent en cas de sécheresse pendant les vacances.
Aujourd’hui, pas d’atelier jardin ni à midi ni l’après-midi, mais Benjamin et moi avons passé deux heures ce matin du côté nord du lycée, à débiter la grande branche d’érable arrachée.
Cela faisait longtemps qu’elle était tombée, et occupait beaucoup d’espace au sol. Il avait d’ailleurs fallu s’y mettre à plusieurs pour la déplacer fin mars, afin de pouvoir planter la haie à cet endroit.
Nous avons débité la branche en tronçons d’environ deux mètres de long, que nous avons ensuite placé dans le coin du mur sous l’épicéa, en face des fenêtres de la SN1. Nous les avons disposé de manière à pouvoir faire un abri pour les hérissons. Plus généralement, un tas de bois mort est très bénéfique pour la biodiversité : c’est un gîte pour de nombreuses espèces, musaraignes, amphibiens, reptiles, abeilles sauvages, e sources de nourriture pour d’autres, notamment les insectes xylophages comme le lucane cerf-volant, et de nombreux champignons
À 17 h, Alya, Ambreen et Yanni ont planté dans le patio six lupins et trois tubercules de dahlia. Nous en avons également profité pour continuer de tailler les rosiers.
Avec Xin-Yang, nous avons planté des pommes de terre (variété Linzer Delikatess) dans la même planche que les pois. La Linzer Delikatess est une variété très précoce : nous pouvons espérer avoir des pommes de terre nouvelles à la fin juin.
Nous avons également commencé à planter des choux (nous n’avons eu le temps de ne mettre en place que deux pieds…), dans l’un des carrés du potager, à côté de la coriandre.
Alya a pris quelques photos des plantes du patio.
La pervenche à petites feuilles fleurit abondamment, après plusieurs années où elle a été régulièrement rasée. Les tulipes commencent à fleurir, prenant le relais des narcisses.
Sur les deux ceps de vigne, récemment taillés, les premiers bourgeons commencent à débourrer.
Les plantations de l’hiver, framboisiers, acanthe, etc. semblent avoir bien pris, de même que les plantations des écodélégués réalisées fin mars.
Le sol est très sec, et les quelques gouttes tombées aujourd’hui n’y ont rien changé : les plantations tardives souffrent.
Heureusement, les écodéléguées Alya et Ambreen ont passé une heure à les arroser. Merci à elles !
À midi, Lakshya et Xin-Yang ont semé des fleurs dans le patio, sur la bordure nord-ouest du chemin. Il s’agit d’un mélange de fleurs utiles et comestibles : bourrache, souci, capucine et bleuet, ainsi que quelques chrysanthèmes comestibles et tagetes.
Deux rubans (achetés via la LPO) contenant les graines ont été mis en place, soit six mètres de fleurs !
Nous avons pris bien soin au préalable de travailler le sol à la houe, du travail fait par les élèves il y a deux semaines, afin de pouvoir enlever le plus possible de rhizomes d’ortie.
Espérons qu’il pleuve bien demain et vendredi, que les graines puissent germer.
En même temps, Jasmine a effectué un gros travail de taille des rosiers, afin de les revigorer et d’ouvrir le regard sur le patio depuis le hall.
À notre arrivée dans le patio, un rouge-queue à front blanc s’est montré, au pied de la vigne puis dans les branches du sureau. Nous n’avons pu le prendre en photo, mais il n’y a aucun doute sur l’identification : c’était un mâle en livrée nuptiale, avec le dessous orange vif, la face noire avec une tache frontale blanche, agitant sans cesse la queue.
C’est la première fois qu’il en est observé au lycée. D’ailleurs, si l’espèce n’est pas rare, elle est assez discrète, et la dernière observation à Bobigny recensée sur faune-iledefrance.org remonte à 2016 !
C’est un oiseau insectivore qui nécessite la présence de vieux arbres, et peut être en danger à cause des pesticides : sa présence au lycée peut donc être interprétée comme un résultat positif de la gestion différenciée des espaces verts que nous menons depuis une dizaine d’années.
Dans le patio, nous avons pu profiter de la floraison des tulipes, des derniers narcisses de la saison, des muscaris, de la pervenche à petites feuilles (qui semble avoir été sauvée des tontes répétées qu’elle a subies). La plupart des plantations de l’hiver semblent avoir bien pris : les framboisiers, l’acanthe, les deux sauges, l’hortensia. Seul le chèvrefeuille planté au pied du sureau semble mort.
En début d’après-midi, Benjamin, Ibrahim et Sébastien ont bien préparé une nouvelle planche de culture au potager, à l’aide des grelinettes, houes et griffes. Nous pourrons ainsi mettre en place la semaine prochaine des pois et des pommes de terre.
Au potager, la végétation est bien partie : les aulx, oignons, échalotes poussent vigoureusement ; les fèves sont en fleurs. Les épinards devront être bientôt ramassés, avant qu’ils ne montent en fleur (comme l’ont déjà fait les mâches, que l’on va laisser monter en graines pour qu’elles se resèment) ; de même pour les laitues.
Les framboisiers du potager ont bien pris, comme les boutures de saule dont les bourgeons se développent.
Côté verger, le poirier et les cerisiers sont en fleur ; ce devrait bientôt être le cas du cognassier.
Espérons qu’il pleuve demain et après-demain : le déficit de pluie de ces derniers jours, ajouté à la sécheresse de février se fait bien sentir. Le sol est très sec, et cela est de mauvais augure, surtout pour toutes les plantations d’arbres et arbustes réalisées fin mars.
Il était plus que temps de tailler la vigne : les bourgeons commençaient à débourrer.
Heureusement, Benjamin (dans le patio), ainsi qu’Alya, Ambreen et Yanni (vers la Chimie2) ont participé à la taille de nos cinq ceps.
Merci à eux pour le travail effectué ! Rendez-vous en septembre pour déguster le raisin !
(et rendez-vous déjà en juin déjà pour la taille de fructification)
Toute la journée, M. Solbes a organisé la plantation de dizaines d’arbres et arbustes par différents élèves, notamment les écodéléguées Saraniya, Karthika, Abivarsi, Wilsly, et d’autres volontaires, avec la participation des élèves de la seconde 2 et de moi-même.
Ont ainsi pu être mis en place des sauges et hortensia dans le patio, des haies dans la cour, le long du stade et de l’avenue, des plantes comestibles autour du potager, différents arbres autour du lycée.
Les essences ont été choisies par les écodélégué·e·s pour leur intérêt pour la biodiversité (fruits intéressants pour les oiseaux par exemple, abri), leurs qualités esthétiques, leur intérêt pédagogique, et/ou leurs productions comestibles. En outre, la plantations d’arbres et arbustes présente un intérêt face au dérèglement climatique, en termes d’atténuation comme d’adaptation.
Avec Xin-Yang, nous avons préparé une nouvelle planche, où nous avons semé des pois (pois nains hâtifs d’Annonay).
Nous avons fini — grâce à M. Bougi — de monter les nouveaux outils. Les crocs et la grelinette nous ont été particulièrement utiles.
Avec Xin-Yang, à midi, nous avons réalisé des boutures de saule (ce qui a été l’occasion de tailler le saule de la haie contre le stade), autour des carrés du potager. Si elles prennent, ce sera l’occasion que ces carrés soient bien délimités, par des bordures vivantes.
L’après-midi, avec Benjamin, Ibrahim et Sébastien nous avons transplantés dans le troisième carré les iris et crocus qui se trouvaient encore dans la pelouse où se garent dorénavant les voitures.
Pendant les vacances, tout le jardin a été fauché, des plantations ont été effectuées (dans et autour de la mare, ainsi que trois lilas vers le figuier).
Cette fois-ci, les plantations déjà réalisées ont été respectées (ouf !). Mais six vitres de la serre (sur 14) ont été brisées !
Par ailleurs, le support en bois que nous avions positionné afin que le houblon grimpe dessus a été évacué (sur ordre de l’architecte semble-t-il).
Dans le patio, les narcisses jaunes sont épanouis depuis déjà deux semaines, et plus discrètes les violettes fleurissent au sol.
Sous les fenêtres du laboratoire de sciences, les grandes pervenches qui ont survécu à la tonte de l’an dernier commencent à fleurir.
L’atelier jardin du mercredi midi a été consacré au patio (la cour intérieure entre le CDI et le hall du lycée). Les premières plantations projetées par les éco-délégués ont ainsi pu être effectuées, à partir de plants que j’ai rapportés.
Jasmine et Esther ont planté des framboisiers (remontants) sous les fenêtres de l’EXAO1. Du chèvrefeuille sauvage a également été planté entre le sureau et le mur, afin qu’il puisse grimper dans l’arbre. Une acanthe a également été transplantée au centre du patio.
Lakshya et Estelle se sont consacrées à la taille des rosiers.
Par ailleurs, la petite pervenche plantée a été dégagée des… radiateurs qui ont été posées sur elle (!). Une étiquette a été placée pour identifier sa présence, en espérant qu’elle pourra enfin se développer sans être régulièrement tondue ou écrasée.
Observation d’un pic épeiche en train de se nourrir (recherche d’insectes xylophages) sur une branche morte du grand érable longeant le stade.
Les photos sont de piètre qualité, notamment à cause de la distance et de la nuit qui tombait, mais il n’y a pas de doute sur l’identification (longues taches blanches sur les ailes noires, sous-caudales rouges). On ne distingue pas de rouge sur la nuque, il s’agit sans doute d’une femelle.
Benjamin a décelé un faucon crécerelle à l’affût dans un des érables autour du potager. Il s’agit probablement du même individu que celui que nous avions observé il y a un mois au même endroit.
Par ailleurs, un rouge-gorge surveille son territoire dans la haie près de la mare.
M. Montel et moi avons réceptionné les nouveaux outils pour le jardin, et à cette occasion avons rangé et réorganisé le local où ils sont rangés.
Ainsi, grâce aux ébrancheurs, mais surtout aux scies d’élagage fraîchement arrivées, nous avons pu terminer de couper la clématite qui étouffait la haie longeant la mare. Le plus dur n’était pas pas de la couper à la base — le bois est assez tendre — mais de parvenir à évacuer les lianes enchevêtrées dans la ramure des arbustes.
Dans le parterre au pied du prunier, les narcisses sont bien épanouis (nous ne sommes pourtant que début février !), alors que les crocus sont encore en bouton.
Avec Benjamin et Ibrahim, nous désespérions d’arriver à observer des oiseaux aujourd’hui, quand un faucon crécerelle s’est posé dans un arbre proche de nous (au niveau du mur qui sépare le jardin du stade Henri Wallon).
Il était en chasse, à l’affût sur une branche, et a fait plusieurs tentatives de prédation au sol.
Avec Xin-Yang, nous avons planté des topinambours, dans une rangée parallèle au support du houblon. Nous en avons profité pour enlever une partie des orties qui pullulent dans cette partie du jardin.
En travaillant la terre, un bourdon a été délogé ; il devait être tranquillement dans le sol pour y passer l’hiver. Il s’agit probablement d’un bourdon des champs (Bombus type pascuorum).
Nous avons également commencé à tailler les rejets basaux du prunier, en dessous du point de greffe.
Les plantations d’automne ont bien résisté au gel de décembre et ont profité des températures très douces pour bien se développer.
Concernant les fleurs, les premiers bulbes de printemps sont bien développés. Des narcisses sont même déjà en bouton !
À 14 h ce mercredi, Ibrahim, Benjamin et Abivarsi ont entamé un travail de recensement de la faune aviaire (oiseaux) au lycée, et de la flore qui s’est installée autour de la mare.
Abivarsi a notamment observé de la morelle noire, du laiteron maraîcher (encore en fleurs !) et de l’euphorbe des jardins.
Xin-Yang et Pipidha ont planté une rangée d’échalotes (variété Longor), à côté des fèves semées la semaine dernière.
Elles ont également encore récolté des radis, ainsi que quelques betteraves (qui se sont autosemées un peu partout dans le jardin).
Xin-Yang a commencé de récolter des radis, qui ont eu l’occasion de bien croître grâce aux températures très douces d’octobre. Elle a également semé des fèves (récoltées en 2019) en espérant qu’elles auront gardé leur pouvoir germinatif.
Avec Pipidha et Xin-Yang :
— semis de deux rangs de laitue et d’un rang de radis de 18 jours
— semis d’un rang de coriandre, dans le carré du milieu
Les navets semés il y a deux semaines ont maintenant bien germé ; on distingue parfaitement leurs deux cotylédons. Les épinards quant à eux commencent tout juste à germer : leurs cotylédons allongés apparaissent tout juste.
L’après-midi, avec M. Montel, nous avons pu récupérer sur le chantier des structures en bois qui participeront à l’aménagement du jardin. Des ouvriers nous ont très gracieusement aidés.
La fouine et la martre sont très ressemblantes. Comme le rappelle les pages de La Hulotte ci-dessous, ce n’est qu’au XVIIIe siècle que l’on a compris qu’elles formaient deux espèces distinctes.
L’animal observé au lycée est très certainement une fouine. En effet, sa bavette nous est apparue plutôt blanche et fourchue. Mais surtout, il semble très peu probable d’observer une martre à Bobigny, car elle est cantonnée aux forêts ; à l’inverse, les fouines se plaisent à proximité des habitations humaines.
Parmi les autres mustélidés présents en France métropolitaine, l’hermine et surtout la belette sont nettement plus petites ; il ne peut y avoir de confusion.
Quant au putois, un peu plus gros, son pelage et sa forme sont assez distinctes des fouines.
Restent le blaireau et la loutre, mais ce sont des espèces parfaitement reconnaissables, et qui ne peuvent être confondues avec aucune autre.
Lorsque nous étions au potager, nous avons eu l’occasion de voir une fouine passer sous la haie puis sous les cerisiers. Elle s’est arrêtée, nous a regardés, puis a fait quelques allers-retours sous les vieux cerisiers avant de disparaître.
Il n’est pas rare de voir des fouines en ville, mais c’est plutôt de nuit. Et pour ma part, c’est la première fois que j’en vois au lycée.
Si nous avons bien eu le temps de la voir, nous n’avons malheureusement pas pu la photographier (la photo d’illustration est une photo prise ailleurs). Je joins quelques pages de La Hulotte décrivant la fouine (n°11 d’avril 1973 et n°44 d’août 1979).
La fouine mange des rongeurs, et des fruits l’été : elle a donc de quoi être heureuse au lycée !
N.B. : Je tiens à demander pardon à toutes les personnes à qui j’ai parlé d’un « furet » : le furet est certes aussi un mustélidé, mais c’est une sous-espèce du putois, exclusivement domestiquée — donc pas du tout ce que nous avons vu…
Neruja, Pipidha et Xin Yang ont récolté les grappes de ceps de chasselas doré (un cépage de raisin blanc) qui se trouvent dans le patio. La récolte a été relativement abondante, avec quelques kilos de raisin.
Au potager, nous avons ensuite planté trois pieds de plantes aromatiques vivaces : du thym, de la sauge (officinale) et de l’estragon.
À cette occasion, nous avons découvert au milieu du carré récemment préparé un morceau de fer, de taille respectable, et s’enfonçant si profondément dans le sol que nous n’avons pas eu le temps de le dégager.
Parmi les semis effectués la semaine dernière, seuls les navets ont germé. Il faudra continuer d’arroser les semis tant que le temps reste aussi sec.
Avec Xin-Jiang, nous avons semé dans la planche la plus proche du lycée :
— un rang d’épinards (géant d’hiver)
— un rang de mâche (à grosse graine), sous forme d’un ruban biodégradable contenant les graines
— un rang de navet (rave d’Auvergne hâtive)
M. Montel et moi avons mis en place les planches du nouveau potager, l’ancien ayant disparu.
Nous avons choisi de faire trois planches carrées (de 2 m) de côté, le long du « parking » (c’est-à-dire de la bande d’herbe où se garent sauvagement les voitures depuis les travaux). Ces planches seront dédiées aux vivaces (fraisiers, aromatiques, etc.).
Plus au sud, nous avons mis en place deux planches de 90 cm de large.
Suite aux travaux de mise en place de la mare, le sol avait été compacté, certainement par le passage des engins. Même à la grelinette, il a été très difficile de le décompacter. Nous avons pu au moins commencer à mettre en place les futures planches. Il sera ainsi possible de faire des plantations cet automne, et même de faire des semis tardifs cette semaine.
,
Avec Pipidha, Neruja et Estelle, l’atelier jardin a recommencé ce vendredi soir à 18 h.
Nous avons pu récolter du raisin, des figues, des pommes, des pêches, des noisettes.
Cette séance fut l’occasion de voir ce qu’était devenu le jardin après les travaux de creusement de la mare en juin/juillet. La mare a été creusée, avec ses trois avant-bassins de filtration. Le débroussaillage violent post-confinement en 2020 avait déjà fait disparaître beaucoup de plantations, ces derniers travaux ont encore augmenté les pertes.
Le pommier qui avait été déplacé lors du chantier, en pleine canicule, est évidemment mort ; nous n’aurons plus de Reine des reinettes… Le plus beau des deux pieds d’asperge a disparu, mais le second est encore présent : il était en train de refaire une pousse après avoir été coupé. La ciboulette et l’oseille ont disparu, mais la rhubarbe est encore en place. L’iris situé près de l’hôtel à insectes (partiellement détruit) est également encore présent. Le houblon, protégé par son emplacement contre le mur du lycée, a bien poussé cette année.
Les framboisiers, qui se situaient exactement à l’emplacement de la mare, ont évidemment disparu. Le groseillier qui avait miraculeusement échappé au débroussaillage de 2020 est encore là. De même, le seul survivant des chênes provenant de glands semés en 2015 a survécu, et commence à bien pousser. Le poirier, qui promettait une belle récolte à la fin du printemps, a été malmené lors des travaux : il n’est plus vertical, et présente de nombreuses blessures sur le tronc ; et toutes les poires ont disparu…
D’un point de vue matériel, une des vitres de la serre a été brisée, sans même que les débris de verre aient été ramassés. Ceci a sûrement eu lieu lorsque l’énorme tas de terre arable entreposé sous les arbres au fond du parking a été déblayé pour être remis au niveau du parvis du lycée.
Concernant ce que nous avons pu récolter, les récoltes de raisin sont assez décevantes, certainement à cause de la sécheresse et de la canicule estivales. Beaucoup de grains ont séché avant de mûrir. Mais nous avons tout de même pu récolter quelques belles grappes ! Curieusement, cette année, les figues ne sont pas encore mûres, mais il devrait bientôt être possible d’en récolter un grand nombre. Le cognassier devrait bientôt fournir des coings en abondance (peut-être moins que les années précédentes). Au contraire, les kiwis sont très nombreux cette année ! Certes, ils ne sont pas très gros (ils ont encore le temps de grossir, ceci dit), mais le nombre compensera la taille.
Le pommier fil jaune a bien donné, mais toutes les pommes sont tombées au sol ; est-ce lié à la mise en place des bennes à ordure du chantier, placées juste devant ? Nous n’avons cherché des noisettes qu’au niveau du noisetier situé vers l’Actinidia, qui a donné beaucoup de (bonnes) noisettes ; il faudra chercher au niveau des autres noisetiers du lycée.
Les prochaines séances de jardin auront lieu le mercredi de 12 à 13, et éventuellement le vendredi après 18 h, tant que le temps le permet encore.
Avec le second groupe de terminale-spécialité SVT, nous avons vu un hérisson cet après-midi, au fond du parking du lycée (vers les préfabriqués).
Merci à Sirine pour les photos !
Bertrand, Kalthoume, Kelly, Mayssa, Nelly et moi avons planté des bulbes de différentes fleurs dans le patio : crocus, tulipes, muscaris, iris. Un pied de pivoine a également été mis en place
Kelly et Nelly ont planté un pied de houblon contre le mur, à l’ouest du jardin. Le houblon est une liane (qui couvrira le mur en béton), dont les inflorescences femelles — très odorantes — sont utilisées pour parfumer la bière depuis le XIIe siècle (lorsque Hildegarde de Bingen découvrit ses propriétés aseptisantes permettant de mieux conserver la bière).
Aujourd'hui, malgré le froid et avec l'aide de Thalina, Alan, Youssef, Christophe, M. Thouand et Aya, nous avons récolté les coings, semé les oignons, placé de la nourriture pour les oiseaux, réparé un des nichoirs à oiseaux qui se décrochait et replanté un chêne.
(PS: dsl mais les photos seront mis en ligne au plus tard vendredi.)
Christophe et Moussa ont récolté les graines de tournesol (tournesols semés à la fin du printemps, ainsi que les deux tournesols issus de graines abandonnées par les oiseaux cet hiver). Ils ont ensuite récolté les courgettes, sans doute les dernières de l’année, ainsi que des figues. Les premiers coings ont également été ramassés.
Avec Moussa, nous avons ensuite récolté des graines de tomates, mises dans l’eau pour quelques jours. Puis nous avons préparé une planche le long des fraisiers où nous avons semé du blé.
Aujourd'hui, avec l'aide de Youssef, Thalina, Christophe, M.Thouand, Aya et moi-même, nous avons récolté des figues, des raisins, des noisettes. Nous avons aussi semés de l'avoine et aussi taillé et récolter la lavande.
Aujourd'hui, avec l'aide de Youssef, Thalina, Christophe, M.Thouand, Aya et moi-même, nous avons récolté des figues, des raisins, des noisettes. Nous avons aussi semés de l'avoine et aussi taillé et récolter la lavande
Aujourd'hui avec l'aide de Christophe, Hatice, Youssef, Nelly et Thalina; Nelly et moi avons préparé une parcelle de terre pour y semer de l'avoine et récolter de l'oignon rouges, arroser les fraisier, la lavande, les choux et les courgettes. M.Thouand, Hatice et Christophe ont redressé les plants de tomates et Youssef a désherbé la menthe. Enfin nous avons cueilli des raisins.
Aujourd'hui, Christophe a désherbé autour des courgettes et a paillé avec les tiges de l'avoine que M.Thouand a coupé. Bertrand a récupéré les pommes de terre et a travaillé la terre avec moi. J'ai planté, avec Bertrand et Ayoub, des tomates, des melons et des potirons. Pendant ce temps-là, Christophe prenait des photos.
La chaleur fût intense ce jour-là et donc étant donné que nous n'étions que trois (M.Thouand, Christophe et moi-même), très peu de récoltes ont été faites. J'ai moi-même récolté des pommes de terre pendant que M.Thouand et Christophe taillaient la vigne
Avec Christophe et Hatice, nous avons d’abord travaillé au patio, où les premières groseilles sont mûres ! Nous avons dégagé la petite pervenche, la lavande, et la menthe qui se trouve dans un des bacs en bois. Nous avons également enlevé une partie des orties autour de ce bac, et avons semé à la place de la prairie fleurie à la place.
La prairie fleurie semée il y a quelques années se resème abondamment, et les nigelles de Damas sont déjà en fleurs autour de la vigne. Les deux ceps de vigne devraient donner leur première production abondante cette année, et nécessitaient une première taille des sarments, ce qui a pris du temps.
Ensuite au potager, nous avons semé des courgettes (variété verte noire maraîchère), d’abord dans des godets en papier journal sous la serre. Puis nous avons fait un gros travail de désherbage et de préparation de futures planches.
Enfin, avec Christophe, nous avons ôté les palettes placées à la fin de l’hiver entre les topinambours et les pommes de terre, et après un travail facilité du sol, nous avons également pu y semer des courgettes, cette fois-ci directement en pleine terre.
Hatice, Christophe, Moussa, Bertrand, Thanusan et Aranan ont continué un gros travail de désherbage. Ils ont également semé (dans des godets en papier journal) des melons, aubergines, potirons, choux de Milan.
Enfin, Christophe, Bertrand et Moussa ont préparé le sol pour des futurs semis. Des melons ont été semés entre l’avoine et les framboisiers. Des graines de tournesol (qui s’étaient resemés toutes seules l’an dernier, disséminées par les oiseaux en hiver) ont été semés près de la menthe.
Les élèves de la seconde 4 ont bien dégagé les framboisiers, ainsi que la haie à proximité, qui étaient envahis par les cirses (chardons), orties et autres plantes adventices.
Malgré la pluie battante, Aranan, Thanusan, Louay, Bertrand et Christophe ont bien désherbé le jardin, qui en avait bien besoin ! Nous avons également semé à nouveau des tomates dans la serre, les précédents semis n’ayant pas supporté les vacances…
Les secondes 4 ont pu admirer les tulipes et les narcisses qu’ils ont mis en place à l’automne, ainsi que les fleurs de pommier, de fraisier, etc. Ils ont également préparé des planches pour des futurs semis.
Les choux ont bien germé, mais pas encore les dernières tomates qui ont été semées, ni les aubergines et les melons.
Nous avons pu voir une mésange charbonnière en train d’apporter de la nourriture à ses oisillons dans le nichoir en face de la porte de secours de la Chimie 2 (celui qui avait été ouvert par un élève indélicat il y a deux semaines, heureusement sans conséquence).
Christophe, Bertrand, Moussa — et Bilel de retour au lycée — ont semé des poireaux (dont les graines ont été récoltées à l’automne), en place, et des aubergines (Barbentane) dans des godets. Des planches ont également été préparées à l’aérobêche et la bêche, afin de pouvoir faire des semis à la rentrée des vacances.
Christophe a fait un chemin avec des palettes, le long de la haie, afin de pouvoir traverser les orties qui commencent à pousser.
Dimanche, il a très légèrement gelé (? 0,9 °C), mais cela a suffi pour brûler les jeunes pousses de pomme de terre qui sortaient tout juste.
Avec Hatice, Moussa, Bertrand et Christophe, nous avons semé dans des godets sous la serre des choux (chou rouge, chou vert), ainsi que des melons. Toutes ces graines sont issues des récoltes des années précédentes.
Les élèves ont ensuite terminé de creuser la mare.
Moussa a pris en photos quelques oiseaux au lycée.
Les geais sont assez fréquents à observer, comme en témoignent les quelques chênes qui poussent, grâce à des glands disséminés par les geais. Les pigeons ramiers sont très courants, et les mésanges charbonnières aussi, en hiver aux mangeoires et au printemps dans les nichoirs.
Christophe a continué de travailler au creusement de la mare, qui commence à bien prendre forme. Puis nous avons désherbé les planches qui commencent à être envahies d’adventices.
Christophe et Bertrand ont bien avancé au creusement de la mare.
Aranan, Thanusan et Louay ont récolté les betteraves qui ont passé l’hiver. Louay a semé des carottes (nantaise amélioré 3), puis nous avons semé des choux de Bruxelles (de Rosny) sous la serre.
En retirant les déchets du jardin Christophe et moi-même avons trouvé, des déchets encombrants et insolites comme une poubelle, des isolants, ou encore un vieux sapin...
Depuis la semaine dernière, nous trouvons beaucoup des bouteilles d'alcool, paquets de chips, bouteilles plastique et j'en passe.
Ceci doit s'arrêter pour le bien de notre planète. Alors, évitons de jetez nos déchets par terre et jetons les à la poubelle.
En retirant les déchets du jardin Christophe et moi-même avons trouvé, des déchets encombrants et insolites comme une poubelle, des isolants, ou encore un vieux sapin...
Depuis la semaine dernière, nous trouvons beaucoup des bouteilles d'alcool, paquets de chips, bouteilles plastique et j'en passe.
Ceci doit s'arrêter pour le bien de notre planète. Alors, évitons de jetez nos déchets par terre et jetons les à la poubelle.
Christophe et Ayoub ont dégagé la menthe (marocaine) des orties qui envahissaient le bac où elle avait été placée, puis ont taillé les rosiers.
Nous avons également taillé les deux pieds de vigne, qui en avaient bien besoin (ce n’avait pas été fait l’an dernier), et planté deux piquets afin de pouvoir palisser les sarments. S’ils ont déjà quelque peu donné l’an dernier, nous espérons obtenir en septembre la première récolte de raisin dans le patio.
À noter que cette zone, protégée par les bâtiments du lycée, semble bénéficier d’un microclimat favorable ; en effet, les bourgeons de la vigne y sont plus avancés que ceux de la vigne de la Chimie 2, et des tulipes y fleurissent déjà.
La petite pervenche, qui avait été coupée par mégarde l’an dernier a été retrouvée et dégagée de la mercuriale et des orties qui l’envahissaient. Espérons qu’elle se portera aussi bien que la grande pervenche sous les fenêtres du labo, qui fleurit abondamment cette année.
Le pêcher est en fleur, et bientôt suivront les autres fruitiers : poirier, pommier, prunier, cognassier.
Du côté des fleurs d’ornement, les derniers crocus fanent, mais il y a encore des narcisses, et fleurissent les jacinthes plantées à la sortie de la Chimie 2 à l’automne dernier.
Et l’arrivée du printemps est annoncée comme chaque année par la floraison jaune des forsythias.
Bertrand et Christophe ont planté des oignons (jaunes), à côté des oignons rouges mis en place avant les vacances.
Ils ont également déplacé le laurier sauce planté il y a deux ans trop près du houx, afin qu’il puisse grandir sans entraver ce dernier, et en masquant efficacement le mur gris.
Ce fut également l’occasion de ramasser les très nombreux déchets qui se sont accumulés dans les espaces verts du lycée… il reste encore du travail !
Un premier désherbage a été effectué, notamment au niveau des fraisiers qui sont en train de refaire leurs premières feuilles de l’année.
La grande pervenche plantée il y a un peu plus de deux ans sous les fenêtres du laboratoire de sciences fleurit pour la première fois !
Du côté du potager, ce sont les crocus et les narcisses plantés les années précédentes qui ont éclos.
Avec les températures extrêmement clémentes de ce mois de février, on sent le printemps venir très vite ; les premiers bourgeons commencent déjà à débourrer (sureau, framboisier, etc.).
Aujourd'hui, grosse activité de mise en place de cultures pour 2019, grâce à Bertrand, Aranan et Louay :
— plantation de deux rangs d’oignon rouge (variété Red baron)
— plantation de deux rangs d’échalote (variété Jermor)
– plantation de deux rangs de pommes de terre (variété Princesse Amandine). Nous avons planté des tubercules de cette variété précoce très tôt dans la saison, en espérant que les températures douces se prolongent et nous permettent une récolte dès juin. C’est un pari, espérons qu’il ne gèle pas en mars ou en avril…
— semis de tomates (graines récoltées localement l’an dernier). Les godets ont été placés dans la serre, avec les germes de Litchi, de telle sorte qu’ils soit reçoivent l’eau de la gouttière pendant les vacances.
Merci aussi à Ilyes et Abbisan notamment, qui avaient préparé le sol avant ces plantations.
Aujourd'hui nous avons continué de creuser la mare et le mètre arrive très bientôt. Nous avons aussi meublé la terre pour y planter des pommes de terres par la suite. A l'aide d'Aranan et Thanusan, nous avons aussi coupé des branches de sureaux.
Nous avons taillé, avec Bertrand et moi-même, des sureaux et des noisetiers. Nous avons coupé et récolté leurs branches pour les mettre dans l'hôtel à insectes.
Observations de mésanges charbonnières, d'un pic vert, d'un accenteur mouchet, d'un verdier et d'un pigeon ramier au lycée / Nettoyage et réinstallation d'un nichoir et réapprovisionnement des mangeoires en graines de tournesol.
Aujourd'hui par ce beau temps de neige, nous avons installé un nichoir sur l'un des trois érables près du potager, et une mangeoire sur le paulownia près de l'entrée du lycée.
Ayoub et Christophe ont fini de semer des épinards (géant d'hiver) à côté des deux rangs déjà semés vendredi dernier. ils ont ensuite achevé le travail des secondes 4, en semant du blé entre les asperges et les framboisiers.
Iness et Alice sont revenues au lycée récolter leurs potirons, en recueillant les graines pour les semis de l'an prochain. Elles ont également récolté des tomates, de la menthe, du thym.
Elles ont également recueilli les graines de deux tomates cerise qui s'étaient resemées toutes seules, afin de pouvoir en produire également l'an prochain. Pour les autres tomates, elles ont nettoyé et mis à sécher les graines que nous avions précédemment récoltées et mises dans l'eau.
Les élèves de seconde 4 ont profité du temps estival avant des pluies pour semer du blé. Ils ont préparé le sol jouxtant les framboisiers, notamment à l'aérobêche ou à la fourche-bêche ; ils ont également arrachées les orties qui envahissaient les framboisiers.
Le semis a ensuite été effectué (par les élèves de seconde 4 pour la partie ouest, et par les élèves de l'atelier pour la partie est).
À cette occasion, des élèves ont récolté quelques pommes de terre qui poussaient là, à partir de tubercules oubliés lors des récoltes précédentes.
Mme Mériaux a profité de ce moment pour effectuer une première récolte de coings.
En cette douce fin de journée, Christophe a taillé les potirons, afin de permettre aux fruits de grossir le plus possible. Ensuite un carré a été travaillé afin d'y placer des épinards (Géant d'hiver) ; Christophe a eu le temps d'y semer deux rangs ce soir.
Les radis semés il y a une semaine pointent leurs premières feuilles (les cotylédons).
Cet après-midi, Hilmi, Lydia et Christophe ont semé de l'avoine (récolté cet été) dans le carré vers le laurier et le houx.
Ils ont également récolté les pommes « fil jaune ». Le pommier a été planté en 2014 par les secondes du projet jardin, et c'est la première année qu'il donne abondamment — bien que les pommes soit toutes petites. Deux courgettes ont également été récoltées.
Des graines de tomates ont été prélevées pour l'an prochain. Nous avons également commencé à trier les graines de la grainothèque.
Les dernières noisettes ont été récoltées, mais comme les précédentes, la graine était toute rabougrie, immangeable.
Christophe et Pascal ont tenté un semis tardif de radis, pendant que Mme Mériaux ramassait une dizaine de tomates et des figues. La terre a été préparée pour accueillir les futurs semis de céréales. Contre le mur du parking (le long de l'ancien ANPE), le prunellier et les cornouiller de la haie plantée en 2015 ont été dégagés des orties.
Plusieurs choux de Bruxelles se sont semés tout seuls, vers la menthe. Auront-ils le temps de suffisamment grandir pour donner cet hiver ?
Nous avons également arrosé, car le sol est sec et aucune pluie n'est prévue d'ici dix jours…
Avec Christophe, nous avons désherbé les pieds de muguet et de pervenche qui se trouvent sous les fenêtres du laboratoire de sciences. Nous avons également dégagé des ronces et orties qui les envahissaient les arbustes (noisetier, forsythia, etc.) plantés au haie du côté du stade Henri Wallon.
Sur un sureau qui pousse au niveau des fenêtres du labo, nous avons observé un grand nombre de chenilles à l'œuvre !
Avec les secondes 4, nous avons observé une punaise arlequin, appelé aussi graphosome d'Italie (Graphosoma italicum), un insecte hétéroptère qui apprécie les ombellifères : vu la quantité de carottes sauvages autour du potager, il devait être aux anges !
Première séance de jardin pour la seconde moitié de la classe.
Découverte des vivaces aromatiques (thym, romarin, sauge, ciboulette), de l'oseille, etc.
Observation des tubercules de carotte sauvage, ainsi que de leurs graines ; principe de la sélection.
Récolte et dégustation de tomates, figues, menthe.
Récolte des graines de poireau, pour les semer au printemps prochain.
Comme l'an dernier, un?e voleur?se a subtilisé un des potirons que les élèves avaient semé, entretenu, arrosé, désherbé, etc.
Si l'auteur?e est du lycée, nous lui saurions gré de prendre conscience que le jardin n'est pas un libre-service, mais un projet pédagogique et humain dans lequel s'investissent des élèves ; et que ceux-ci seraient certainement enchanté d'offrir le fruit de leur travail à qui leur demanderait.
Intense activité ce soir au jardin : Hatice, Christophe, Iness et Alice ont récolté et sont partagés un potiron (variété « rouge vif d'Étampes »), des tomates, des figues, quelques pommes de terre.
Afin d'enrichir la grainothèque ont été également récolté l'avoine semé l'an dernier, qui va bientôt pouvoir être semé ; la paille a été mise de côté pour pailler les cultures. Ont été également mis de côté les fèves qui n'avaient pas été vendues en juin, ainsi que les graines du potiron. Des graines de tomates ont également été récoltées, mises dans dans un peu d'eau avec leur pulpe afin de les resemer au printemps prochain.
Les betteraves qui s'étaient semées toutes seules ont été désherbées, et paillées.
Hatice et Christophe ont par ailleurs désherbé les topinambours, qui sont plus visibles maintenant que les carottes sauvages et les armoises ont été ôté. Alice et Iness ont pendant ce temps-là ramassé des orties aux environs du figuier. Tout cela a permis de pailler le carré où le blé avait été semé l'an dernier.
Des courgettes, tomates, figues, potirons devraient pouvoir être récoltés dès la semaine prochaine. Les coings continuent de mûrir, nous pourrons bientôt les récolter et en faire de la pâte de coing — ou autre. Des graines de radis et de betterave sont à ramasser lors des prochaines séances.
Avec Moussa, nous avons récolté les noisettes des deux noisetiers plantées au jardin. Au passage, nous avons arrachées les orties qui empêchaient l'accès à la haie plantée le long du mur.
Nous avons également récolté quelques figues.
Des élèves de la seconde ont vendu les produits du jardin : raisin, figues, tomates, courgettes, etc.
Merci à tous les acheteurs qui ont ainsi contribué au foyer des élèves.
Les élèves de Seconde 4 ont moissonné le blé semé l'an dernier, l'ont battu pour séparer les grains et la paille.
Ensuite, ils ont moulu les grains afin de produire de la farine.
En ce début de vacances, plusieurs élèves de la seconde 4, de l'atelier jardin, et des anciens élèves sont venus au lycée pour récolter et préparer les futures récoltes.
Lydia, Christophe, Louise, Amira, Iness, Alice, Beslan, Vincent et Bilel ont ainsi récolté les pommes de terre, ainsi que les aulx et les échalotes. Ils ont également récolté les graines de choux de Bruxelles (de Rosny), et paillé avec de l'herbe fraîchement tondue les tomates, courgettes, potirons et maïs, afin qu'ils supportent les jours d'été secs à venir.
Alice et Iness ont vendu aux professeurs intéressés toute la récolte de fèves qu'elles avaient semé avant l'hiver. Les bénéfices (une quarantaine d'euros) iront au foyer du lycée.
Un grand merci à elles pour le temps passé, et aux professeurs qui ont participé !
Ce soir, Iness, Alice et Nesrine ont cueilli les fèves, après avoir dégusté les fraises. Puis, après l'orage, elles ont semé en mélange sur une même parcelle, à côté du compost :
— du maïs (variété Golden Bentam)
— des potirons (variété rouge vif d'Étampes)
— des pois (variété à grains ridés téléphone à rames)
Après avoir dégusté les fraises, les élèves ont désherbé leurs pieds de pommes de terre. Nous espérons pouvoir récolter des pommes de terre nouvelles la semaine prochaine, avant la fin des cours.
Par ailleurs, certains élèves ont préparé le sol pour y repiquer des pieds de tomates, et ont semé des melons (charentais) à côté des choux de Bruxelles dont les graines devraient bientôt pouvoir être récoltées.
Iness et Fatma ont dégusté les premières fraises de l'année, puis ont semé de la coriandre et du persil (variété Gigante d'Italia race novas).
Les courgettes et les potirons commencent à germer.
Ce soir, grosse activité au jardin, grâce à Iness, Alice, Cristelle, Beslan et Vincent :
— repiquage des tomates
— semis de courgettes (verte de Milan – Black beauty), à côté des fèves
— semis de melon (charentais), à la place de l'artichaut qui a gelé
— semis de potiron (rouge vif d'Étampes), avec ceux qui ont été précédemment repiqués, vers le pêcher
— et bien entendu désherbage et préparation de la terre pour les futures cultures
Nous en avons profité pour manger les premières fèves ! Quant aux fraises, elles devraient bientôt être mûres.
Les pommes de terre plantées il y a trois semaines montrent leurs premières feuilles. Les fèves commencent à fleurir. Les bourgeons de l'actinidia (l'arbre qui donne des kiwis) ont débourré, et montrent les premières feuilles ; de même, les bourgeons de la vigne commencent à débourrer.
Aujourd'hui, les secondes 4 ont planté six rangs de pommes de terre (variété Aliénor). Ils ont semé également en godets placés sous la serre des tomates (variété Bloody butcher) et des poivrons (variété California orange wonder).
Les semis d'automne n'ayant pas été une réussite, ils ont également semé à nouveau de l'avoine et du seigle (respectivement dans les deux carrés proches de la lavande et dans le grand rectangle le long des framboisiers).
Aujourd'hui, Moussa, Nikkola et Vithushanan ont mis en place des nichoirs (un pour rouge-gorge, un pour mésanges) du côte nord du lycée (sur l'épicéa en face de la Physique 1, et dans les buissons à la lisière du stade).
Aujourd'hui, les secondes 4 ont planté des pommes de terre (variété Aliénor : une variété précoce, qui laisse espérer avoir des pommes de terre nouvelles en juin si le printemps est clément).
Ils ont également nettoyé et remis en place des nichoirs pour les mésanges, autour du potager. Les tiges d'orties sèches ont été ramassées afin de pailler le sol, et certains élèves ont ameubli le sol à l'aérobêche ou à la fourche-bêche afin de préparer le sol pour les futurs semis et plantations.
Iness et Alice ont récolté les choux de Bruxelles. Les premiers semis du printemps, qui étaient dans la serre, ont été rentrés à l'intérieur pour les prévenir du gel à venir la semaine prochaine.
Les tiges sèches d'ortie de la friche ont été ramassées pour pailler l'artichaut.
Tout d'abord nous sommes allés voir dans le jardin le coin où se trouve le blé.
On a posé une nappe sur le sol pour y déposer le blé entier, c'est à dire avec la paille.
Postérieurement, on a coupé en deux le blé en séparant la paille de l'épi.
Par la suite, on a refermé la nappe avec le blé contenu à l'intérieur pour ensuite lui faire encaisser des « coups de bâton » afin de séparer les grains de l'épi : cette étape s'appelle le battage.
On a mis de côté les pailles (lesquelles servent de litière aux animaux).
On a effrité les grains récoltés dans nos mains afin de démêler les résidus qui s'y logent, qui forment la balle.
Ensuite, on a pris trois mortiers et trois pilons pour moudre les graines (ce qui correspond à l'action que fait le moulin).
Cela nous a donné une poudre blanche (la farine) avec encore quelques morceaux de son qu'ils restaient.
Il restait une dernière étape qui était celle qui permet de séparer le son de la farine : le blutage.
Tout d'abord nous sommes allés voir dans le jardin le coin où se trouve le blé.
On a posé une nappe sur le sol pour y déposer le blé entier, c'est à dire avec la paille.
Postérieurement, on a coupé en deux le blé en séparant la paille de l'épi.
Par la suite, on a refermé la nappe avec le blé contenu à l'intérieur pour ensuite lui faire encaisser des « coups de bâton » afin de séparer les grains de l'épi : cette étape s'appelle le battage.
On a mis de côté les pailles (lesquelles servent de litière aux animaux).
On a effrité les grains récoltés dans nos mains afin de démêler les résidus qui s'y logent, qui forment la balle.
Ensuite, on a pris trois mortiers et trois pilons pour moudre les graines (ce qui correspond à l'action que fait le moulin).
Cela nous a donné une poudre blanche (la farine) avec encore quelques morceaux de son qu'ils restaient. Il restait une dernière étape qui était celle qui permet de séparer le son de la farine : le blutage.
Quelques élèves de la seconde 5 de l'an dernier (Nelly, Charrine, Yasmine) sont venues récolter les fruits de leurs semis de l'an dernier : courgettes, melons, etc.
Hanane a récolté pour les vendre dans le hall les dernières grappes de raisin, ainsi que les figues, poires et pêches, melons et courgettes, menthe, thym, romarin. Les melons font tout à fait honneur à l'histoire maraîchères de Bobigny !
Merci encore à tous ceux qui ont contribué au foyer des élèves en achetant les fruits et légumes du jardin.
Ce vendredi, Hanane a vendu dans le hall les premières récoltes de l'année scolaire : raisin, figues, pêches, tomates, melon, ainsi que quelques aromatiques (thym, romarin, sauge).
Tous les produits proviennent du jardin pédagogique du lycée, et ont été cultivés par les élèves de la seconde 5 de l'an dernier, et les élèves volontaires de l'atelier sciences nat'.
Plus de 70 € ont ainsi pu être récoltés au bénéfice du foyer. Merci à tous les contributeurs, à Hanane pour les récoltes et la vente, et à tous les élèves qui ont participé au jardin.
Après m'avoir confié les tomates petits (en mode survie) que Ruo a planté au jardin dans des petits pots le 10/03/17, je les ai repiqué, j'ai bien arrosé comme il faut et maintenant je peux m'attendre à avoir des jolies petites tomates sur mon balcon ! :D
Vincent a pris en photo les mésanges charbonnières qui font des allers-retours incessants pour nourrir de petits invertébrés les oisillons qui les attendent dans un des nichoirs.
Avec Vincent, nous avons achevé de couper les orties du patio, taillé le thuya en mauvaise santé, et essayé de délimiter clairement les parterres où ont été placés des tulipes et des narcisses.
Dans ces parterres, les lupins semés par Ruo sont tout juste en train de germer.
La menthe et la lavande se portent à merveille, tout comme les deux pieds de vigne plantés l'an dernier. Autour de ces derniers, des soucis fleurissent, ainsi que bientôt d'autres fleurs semées l'an dernier comme « prairie fleurie ». La petite pervenche plantée à l'automne a bien pris, ainsi que quelques boutures de framboisier faites cet hiver.
Avec Ruo et Quentin, nous avons semé dans le premier carré de céréales trois espèces :
— du maïs (variété « maïs des indiens »)
— des pois
— des potirons
L'idée est de reproduire l'agrosystème mexicain de la milpa, où le maïs sert de tuteur au pois, qui fixe l'azote atmosphérique et enrichit ainsi le sol, la courge (ici le potiron) apportant de l'ombre et donc de l'humidité au niveau du sol.
Ces trois espèces ont été semés dans le carré où nous avions semé du blé, dont seuls quelques pieds ont germé, et de la vesce qui est actuellement en fleur.
Durant l'après-midi, il a grêlé, heureusement sans conséquences sur les cultures du lycée.
De nombreuses punaises rouges du chou, ou punaises ornées (Eurydema ornata) se trouvent sur… les choux, dont elles sucent la sève avec leur rostre. À ne pas confondre avec les gendarmes !
On trouve également différentes espèces de coccinelles, comme ici la coccinelle asiatique (Harmonia axyridis), une espèce introduite par les humains en Europe comme agent de lutte biologique contre les pucerons, et qui est devenue invasive.
Les fèves et les pois sont en fleurs. Les pommes de terre, qui avaient gelé le 20 avril, sont pour la plupart reparties (mais ces quelques semaines de retard ne permettront sans doute pas une récolte avant la fin de l'année scolaire).
Dans la serre, les courgettes ont bien germé, et sont maintenant suivies par les melons et le potirons.
Au potager, les épinards et les oignons (respectivement semés le 28 avril et plantés le 26 avril) sont en train de sortir.
Les fruits (pêches, poires, pommes) continuent de grossir.
Les élèves de seconde 5 ont repiqué quatre pieds de tomates (au moment des saints de glaces, qui dans la tradition populaire marquent la fin de la possibilité de gelées matinales). Ils ont également semé des choux (de Bruxelles et de Milan d'Aubervilliers), ainsi que des poireaux.
D'autres élèves ont également délimité la zone où il avaient placé des tulipes et d'autres fleurs, en la recouvrant de compost. Ils ont également préparé de futures planches devant la serre, avec l'aérobêche et du compost.
Romaïssa a pris en photo un des couples de mésanges charbonnières qui se relaient pour nourrir leurs oisillons qui sont à l'abri dans un des nichoirs installés par les élèves.
Les deux nichoirs à proximité du potager sont occupés par des mésanges charbonnières.
À l'occasion, on peut voir l'un des parents ressortir du nichoir avec un sac fécal dans son bec : c'est une poche renfermant les déjections des oisillons, que les parents transportent loin du nid, pour des raisons d'hygiène et de discrétion vis-à-vis des prédateurs.
Vincent, Beslan et Ruo ont fait du bon travail dans le patio : arracher une grande partie des orties, tailler le thuya. La menthe, la pervenche, la lavande et les boutures de framboisier (qui semblent avoir pris pour la plupart) ont ainsi été dégagés. Les deux pieds de vigne plantés l'an dernier ont été taillés à trois yeux. Enfin, Ruo a semé des lupins au bord du chemin, entre les tulipes et narcisses qui ont fini de fleurir.
Au retour, nous avons à nouveau croisé un hérisson près du potager.
Ruo, Raïma, Thomas, Beslan et Vincent ont aujourd'hui semé des épinards, planté des oignons (rouges), des pommes de terre (Dolwenn de Bretagne), ainsi que des asperges. Ils ont également semé de la vipérine et de la bourrache, respectivement dans le triangle des topinambours entre les érables, et au milieu des fraisiers.
Les élèves de seconde 5 ont planté des oignons rouges, semé des radis (semences récoltées l'an dernier) et des carottes. Ils ont également semé, en godets dans la serre, des aubergines, potirons, melons.
Un hérisson chassait tranquillement aux alentours du potager ce soir, vers le poirier. Il était caché par les hautes herbes, mais comme souvent, on détecte sa présence par le bruit qu'il fait.
Un couple de mésanges charbonnières niche dans un des nichoirs autour du potager. Le mâle a été capturé en photo en train d'apporter de la nourriture (une limace ?) à la nichée.
Au même endroit, une fauvette à tête noire emplissait l'espace sonore de son chant mélodieux.
Il a gelé ce matin, ce qui a brûlé les pousses de pommes de terre qui étaient déjà bien sorties… Il ne semble heureusement pas y avoir eu d'autres dégâts.
Par chance, Ruo (qui s'était occupé des semis de tomate pendant les vacances, merci encore !) a rapporté les jeunes pieds de tomate ce matin-là, ce qui leur a permis d'échapper au gel.
Le fleurs du poirier, du pêcher, du prunier commencent à se transformer en fruit. Les figues apparaissent sur le figuier avec les premières feuilles. Le cognassier a fleuri pendant les vacances, ses fleurs commencent déjà à faner. Il semble y avoir quelques semaines d'avance par rapport à l'an dernier.
Quant aux pommiers, il semblent que leurs boutons de fleurs visibles avant les vacances aient disparu ; nous n'aurons certainement pas encore de pommes cette année.
En revanche, un des actinidias (kiwi) a des bourgeons floraux pour la première fois. Mais comme il est le seul pied à en avoir, même si ce sont des fleurs femelles, nous n'aurons pas de kiwis cette année par absence de pollen pour féconder les ovules…
Les choux, qui n'ont pas été consommés cet hiver, sont maintenant bien en fleurs. Les fraisiers et les framboisiers également, ce qui laisse augurer les premiers fruits en juin. Les groseilliers sont certainement encore trop jeunes (plantés il y a un peu plus d'un an) pour donner cette année.
Les plantations faites avant les vacances (thym, romarin, artichaut, betteraves repiquées) semble avoir bien supporté les deux semaines sèches, pendant lesquelles personne n'a pu les arroser.
Monica, Quentin, Ruo et Thomas ont planté quatre griffes d'asperges vertes (dont la présence est indiquée par des grands tuteurs de sureau). Si elles prennent correctement, on pourra effectuer les premières récoltes au printemps… 2020.
Nous avons également planté un pied de thym, et un de romarin, à côté de la sauge.
Dans le triangle d'érables, nous avons mis cinq topinambours (fuseau, alors que la semaine dernière nous avions planté des Sakhalinski blancs).
Enfin, nous avons repiqué les betteraves qui s'étaient semées toutes seules au printemps.
Cette semaine, les cerisiers étaient en fleurs, celles des pêchers et pruniers commençaient à faner. Le jeune poirier a fourni de nombreuses fleurs cette année : les premières poires Louise Michel à la rentrée ?
Quant au pommier et au cognassier, les fleurs étaient encore en bourgeon au départ en vacances. Tant pis, nous ne les verrons sûrement pas…
Au début du printemps, quand on taille la vigne, un liquide s'écoule au niveau de la tige sectionnée. C'est la sève brute qui remonte du bas de la plante, mue par la poussée racinaire.
Les élèves de seconde 5 ont planté des pommes de terre (variété « Dolwen de Bretagne »). C'est une variété précoce, qui permet d'espérer une récolte à la fin de l'année scolaire.
Ils ont également planté deux fraisiers (« Mara des bois »). C'est une variété remontante, censée fructifier dès mai.
Enfin, ils ont planté un artichaut (« Gros vert de Laon »).
Avec Beslan et Thomas, nous avons planté des topinambours (enfin… un seul vu l'état des quatre autres tubercules !).
Nous avons également taillé la vigne dont les bourgeons commencent à débourrer.
Avec Vincent et Thomas, nous avons taillé les rosiers du patio (ainsi que le thuya), et dégagé les narcisses et tulipes qui y avaient été plantés par les secondes.
Puis nous avons semé des pois et des fèves dans la planche du potager préparée par Massyl et Nabil avant les vacances.
Un prédateur a dévoré consciencieusement tous les choux, ainsi que les fèves et les pois qui commençaient à germer. Des chenilles semblent peu probables en février, des moutons ou des chèvres sont rares en liberté à Bobigny, alors… des lapins ?
Nous avons découvert que de nombreuses têtes d'ail n'avaient pas été ramassées à l'automne. Nous avons donc séparés les caïeux qui commençaient à germer, pour les repiquer séparément.
Les élèves de seconde 5 ont tenté de faire des premiers semis (la prochaine séance de jardin n'aura lieu qu'à la mi-mars…).
Ils ont semé des fèves (variété Aguadulce) et des pois (nains à grain rond, variété Petit provençal), ainsi que de la ciboulette et des laitues.
Les pois et fèves semés en novembre commencent à germer, et semblent avoir supporté le gel de janvier !
Vincent, Monica, Ruo, Valentine et Quentin ont remis des graines de tournesol dans les mangeoires, et remplacées les boules de graisses qui ont été mangées durant la semaine : les systèmes de fixation mis en place la semaine dernière se sont avérés efficaces !
Ils ont également taillé les arbustes de la haie contre le mur du potager, ainsi que le cerisier qui envahit le jeune prunier.
Nous en avons profité pour faire tenter des boutures de noisetier le long du mur de l'ancienne ANPE.
Les températures sont remontées aujourd'hui après dix jours où le jardin est resté gelé. Évidemment, les feuilles des radis et autres plantes d'automne ont gelé.
Mais le printemps s'annonce quand on voit les crocus, les narcisses et les tulipes pointer leurs premières feuilles.
Malgré le froid, Ruo, Quentin, Monica, Valentine et Beslan ont nettoyé les nichoirs où les mésanges avaient construit leur nid à la belle saison (il y restait d'ailleurs un œuf non éclos, signe d'un abandon du nid ?).
Ils ont également réalimenté les mangeoires en graines de tournesol, afin de permettre aux passereaux de surmonter le froid, et ont fabriqué des suspensoirs à boules de graisse, placés dans le jardin, le patio et derrière le laboratoire de sciences.
Roland-Pierre et Beslan ont taillé les framboisiers, en tentant de les bouturer dans le patio.
Ils ont également essayé de relancer le compost dans la serre, afin de faire des cultures sur couche chaude en primeur.
Les mangeoires pour les oiseaux ont également été réalimentées, en prévision du froid à venir.
Les élèves ont planté le second pied de lavande apporté par M. Maulucci. Il a été planté au coin du jardin, près de l'oseille.
La mangeoire pour oiseaux située près de la Chimie 2 a été à nouveau fixée au tamaris, et alimentée en graines de tournesol.
Les élèves de seconde 5 ont planté aujourd'hui deux Actinidia deliciosa, la liane qui produit des kiwis. Cette espèce étant dioïque, un pied mâle et un pied femelle ont été plantés, en remplacement des deux pieds morts au printemps (le pied mâle a été planté à l'extrémité sud du mur).
Les variétés plantées sont « Hayward » pour le pied femelle, et « Tomuri » pour le mâle.
Les élèves de seconde 5 ont planté des rhizomes d'iris et des bulbes de tulipe, à côté de l'hôtel à insectes. Ils ont également semé des fèves, et des pois (en espérant pour ces derniers que l'hiver soit doux !). Ils ont également semé de l'avoine, malgré la saison avancée, en espérant profiter du redoux de ces derniers jours.
Nous avons planté un pied lavande et un pied de pervenche (petite pervenche) dans le patio. Et nous avons également planté un pied de pervenche( grande pervenche) sous les fenêtres du laboratoire de sciences.
Nous avons taillé le thuya du patio.
Les secondes 5 ont planté des bulbes, pour former deux massifs de fleurs au printemps : un massif vers le potager (sous le prunier), et un massif dans le patio.
Ont été plantés, dans l'ordre de floraison :
— des perce-neige (Galanthus nivalis, variété « Ikariae »)
— des crocus (Crocus chrysanthus, ou crocus botanique)
— des narcisses (Narcissus pseudonarcissus, ou narcisse trompette, variété Marieke et Mount Hood)
— des tulipes (tulipes triomphe « Passionale » et tulipes dentelle « Curly sue »)
Les perce-neige sont avec les crocus les fleurs les plus précoces, pouvant apparaître dès février. La floraison continuera ensuite avec les narcisse, puis de terminera en avril-mai avec les tulipes.
Vincent et Beslan ont repiqué les choux rouges.
Valentine et Quentin ont semé des navets et de la coriandre.
Ruo a récolté les graines des différentes variétés de tomates.
Plus de 50 € ont été récoltés ce midi grâce à la vente du raisin, des tomates, des pommes de terre, de l'ail, etc. La somme a été reversée au foyer.
Merci à tous les contributeurs. Merci à Hanane et ses camarades pour avoir consacré du temps à la récolte, l'affichage et la vente. Et merci aux élèves de la seconde 12 de l'an dernier et à ceux de l'atelier qui ont cultivé tous ces produits.
Pour la première séance au jardin, les élèves de seconde 5 ont réalisé la moisson du blé et de l'avoine semé à l'automne dernier. Ils ont ensuite réalisé le battage afin de détacher les graines des épis.
Ils ont également récolté les dernières pommes de terre qui restaient encore dans le sol. Le carré de pommes de terre a ainsi ou être réutilisé pour semer les derniers radis de la saison.
Quatre élèves sont venus ce vendredi reprendre possession du jardin.
Cette séance a été l'occasion d'essayer de récolter les pommes de terre, avec deux mois de retard… Mais en cherchant bien, on arrive à en retrouver !
Quant à l'ail qui avait été planté sur le bord ouest du jardin, les gousses sont de taille modeste. Le fait que l'avoine ait versé dessus ne les a sans doute pas aidés !
Valentine et Ruo ont fini de dégager les fraisiers des adventices comme le liseron qui les avaient envahis, puis ont semé des laitues et des radis, pendant que Vincent et Beslan dégageaient et tuteuraient les pieds de tomates.
Septembre, la saison des vendanges ! Le raisin est mûr !
Les aulx et les oignons sont à récolter. Les poireaux de l'an dernier sont en fleur.
Les pois chiches sont une réussite, qui fait regretter de ne pas en avoir semé plus.
Retour au jardin, où personne n'a mis les pieds pendant près de deux mois… Passée la première impression globale que tout a disparu, on se rend finalement compte qu'il suffit de soulever quelques adventice, d'ôter le liseron pour voir les fruits du travail de juin.
Les pieds de tomate, bien que non tuteurés, non taillés, donnent abondamment. Évidemment, sans tuteur, la récolte est plus difficile, vue la surface couverte par chaque pied !
Les courgettes ont souffert de la sécheresse de la fin du mois d'août, mais recommencent à donner. De même, de nombreux pieds de potimarron se sont desséchés, mais ceux protégés (par les adventices !) fructifient.
Contre toute attente, les tout derniers semis (début juillet) ont plutôt bien réussi, sans aucun entretien (merci la pluie venue au bout moment !) : les flageolets sont prêts à être récoltés, les choux (rouge et de Bruxelles) ont germé, tout comme les potirons (en fleur, mais auront-ils le temps de fructifier ?) et les carottes.
Les pois chiches sont également prêts à être récoltés.
La rhubarbe a dû souffrir en août, mais produit de nouvelles feuilles, ce qui est plutôt bon signe.
Les fraisiers ont été envahis par le liseron qui les a totalement recouverts, nous ne pourrons certainement pas profiter des dernières fraises…
On pouvait s'y attendre : le maïs n'a pas supporter le manque d'eau estival. Quant aux céréales (blé, seigle, avoine), trop peu denses elles ont été couchées et la récolte sera bien maigre.
Même l'oseille faisait grise mine, mais comme pour la menthe, il n'y a pas d'inquiétude à avoir pour elle, elle repartira avec un peu d'eau !
Avec Vincent et M. Maulucci, nous avons semé un mélange de maïs et de haricots, au milieu desquels ont été repiqué des potirons.
Nous avons également repiqué les derniers pieds de tomate et de melon qui restaient.
Nous avons semé du tournesol (variété « des jardins »), en avant de l'hôtel à insectes. Sur les deux premiers rangs ont été resemées les graines récoltées à l'automne, et sur le dernier rang le reste des graines achetées l'an dernier.
Nous avons repiqué trois pieds de courgette, à l'avant de la serre, à la suite de celles qui avaient été semées en place.
Nous avons repiqué les tomates semées au début du printemps. Les variétés mises en place sont : « miel du Mexique » (deux pieds), « prince de Borghèse », et « petit (moineau ?) ».
Nous avons également semé ensemble du maïs, des pois à rames et des haricots, entre lesquels ont été repiqués deux pieds de potiron.
Les variété mises en place sont :
– maïs doux golden Bentam
– pois à rames à grain ridé
– potiron : potimarron
– maïs des Indiens
– haricot maïs (type Tarbais) à écosser à rames
Un couple de mésanges charbonnières s'est installé dans un des nichoirs installé au lycée.
Les œufs ont maintenant éclos, et on peut apercevoir les parents faire des allers-retours pour apporter des insectes aux oisillons. Ils ont également pu être observés en train d'évacuer un sac fécal (poche renfermant les déjections des oisillons).
Vendredi prochain étant férié, l'atelier jardin a eu lieu cet après-midi.
— semis de carottes (variété « nantaise améliorée 3 »)
— mise en place des dernières pommes de terre (variété « Linzer Delikatess »), dans le prolongement de celles déjà mises en place en avril
— semis de courgettes (variété « verte noire maraîchère »), en place à l'avant de la serre et en godets
— semis d'aubergine (variété « de Barbentane »)
— semis de melon (variété « ananas d'Amérique à chair rouge »)
— semis de ciboulette (variété « très fine danoise »)
— semis de basilic (variété « marseillais »)
— semis de thym (« commun »)
— semis de potiron (variété « potimarron »)
Les élèves de seconde 12 ont semé aujourd'hui :
— du thym (thym commun)
— du basilic (marseillais)
— de la ciboulette (très fine danoise)
— des pois chiches (type Flamenco)
— des carottes (nantaise améliorée 3) à côte de l'ail
Après deux semaines de vacances, les premières pommes de terre sortent de terre, comme les oignons. Les fèves, et les choux sont en fleurs, les radis vont bientôt fleurir également. La croissance des céréales est impressionnante, et les premiers épis vont apparaître.
Les élèves de seconde 12 ont planté aujourd'hui :
— des pommes de terre (variété « Linzer Delikatess »). C'est une variété de rattes très précoce, qui devrait pouvoir être récolté en juin (75 jours après la mise en place)
— des oignons (« de Roscoff »)
— de la rhubarbe
Ils ont également contribué à dégager les framboisiers des orties, à ramasser de quoi faire un paillis, et à décompacter des parcelles à l'aérobêche pour de futurs semis.
Nous avons planté des pommes de terre. Ce sont des « Belle de Fontenay », une variété hâtive, ce qui laisse espérer de pouvoir les récolter juste au moment de la fin des cours.
Nous avons également repiqué les choux qui avaient été semés cet automne.
Nous avons planté deux ceps de vigne dans le patio, sous les fenêtres de la bibliothèque orientées au sud. Ce sont deux ceps de chasselas doré, un cépage de raisin blanc.
Nous avons également planté un groseillier (de la variété Jonkheer Van Tets), au centre du patio.
Nous avons ensuite à nouveau semé de la coriandre dans un des caissons en bois (bien que quelques pieds aient passé l'hiver), et de la ciboulette.
Par ailleurs, Vincent a taillé une partie des rosiers, qui en avaient besoin.
Les élèves de Seconde 12 ont aujourd'hui semé/planté en place :
— des radis (de 18 jours)
— des navets (de Milan à forcer à collet rose Atlantic)
— des pommes de terre (Belle de Fontenay)
Ont également été semés, en pépinière :
— des tomates (de diverses variétés, les graines provenant de l'association Graines de Troc)
— des melons (variétés « ananas d'Amérique à chair rouge » et « César hybride F1 »)
— des courgettes (verte noire maraîchère)
Nous avons aujourd'hui mis en place un groseillier (variété « London market ») à côté de la serre.
Nous avons également semé en pépinière des tomates (de différentes variétés, provenant de l'association Graines de Troc), des melons (« Melon ananas d'Amérique à chair rouge »), des courgettes (« Courgette verte voire maraîchère »), et des choux.
Aujourd'hui, nous avons semé des pois et des ails rose de Lautrec à l'extérieur du jardin et des oignon blanc (printanier parisien) dans le serre. Nous avons aussi arrosée le reste du potager.
Dernière taille de formation pour les pommiers et le poirier, afin de former les douze charpentières qui structureront chaque arbre.
Taille des framboisiers, qui font grise mine après les quelques jours de gel la semaine dernière (minimum enregistré : -4,7 °C).
Beslan et Vincent ont également paillé les framboisiers avec du compost mûr (produit en abondance depuis quelques années), ce qui à la fois leur permettra d'être moins envahis de plantes adventices, et leur apportera l'acidité du sol qu'ils apprécient.
Aujourd'hui, semis de :
— fèves (fève de Séville à longue cosse)
— pois (pois nain hâtif d'Annonay - à grain rond)
— carotte (carotte Touchon ; carotte Presto hybride F1 sous la serre)
— ail (ail rose de Lautrec), planté avec les carottes : l'ail protège les carottes
Leïla, Inès et Vanessa ont par ailleurs ramassé de la mâche et des salades.
Le texte ci-dessous a été écrit par les élèves de la seconde 4, suite à la conférence qui leur a été donnée par l'archéologue Boris Valentin.
Il est disponible au format pdf dans la section Documents.
Dans le cadre du projet de MPS, qui est un enseignement d’exploration dans lequel nous avons planté des arbres pour en faire des haies, où nous avons cultivé un jardin biologique et appris comment fonctionnent les plantes et étudié l’agriculture dans le monde, nous avons reçu M. Boris Valentin, le 20 mai 2015, qui est archéologue et professeur à l’université de la Sorbonne. Il est venu nous présenter les premières traces de l’agriculture, ainsi que l’homme du néolithique et sa façon de vivre.
L’invention de l’agriculture s’est sans doute effectuée simplement. L'homme, inconsciemment, a disséminé des graines autour de son habitation, il a pris ensuite conscience de la possibilité de cultiver des plantes. Il a domestiqué aussi des animaux sauvages qui, après de nombreuses années, ont subi une spéciation.
Ainsi, l'agriculture a été inventée dans de nombreux foyers, à diverses périodes, puis elle s’est peu à peu diffusée sur tous les territoires.
Elle a d’abord commencé au Proche-Orient, dans le Croissant Fertile. Les hommes ont domestiqué le loup vers 12 500 avant J.-C., qui est devenu le chien actuel par spéciation. Les habitants du Croissant Fertile cultivaient des céréales sauvages (blé, orge...) et des plantes comme la pistache, dont la culture a commencé alors vers 10 000 avant J.-C. Entre 8 500 et 7 500 avant J.-C, les hommes du Croissant Fertile ont domestiqué la vache, le porc et le mouflon (mouton actuel). L’élevage et l'agriculture se sont développés par la création de petits villages ; on considère alors ces hommes comme des paysans.
En Asie de l’Est, un autre foyer important est apparu à partir de 7000 avant J.C., il était avant tout fondé sur la culture du riz et du millet. Un autre est né de façon concomitante en Nouvelle-Guinée, cette fois les cultures de base étaient la banane, le taro ou la canne à sucre.
Ailleurs, l'Afrique fut l'un des autres foyers d'invention de l'élevage mais la culture de végétaux y a été moins importante que dans les autres foyers d’invention.
En Amérique, l'agriculture fut créée beaucoup plus tard, entre 2 500 et 100 avant J.-C. Ce sont des Paléoindiens, venus d’Asie par le détroit de Behring, qui ont commencé à pratiquer la culture. Ils étaient encore nomades lorsqu'ils ont commencé à cultiver. L'agriculture n'a pas été diffusée en Amérique mais y est bien née. Au Mexique on cultivait du tabac, du maïs, des avocats et des haricots ; dans les Andes on cultivait des courges, du piment et du coton ; au Mississippi de la courge et des tournesols ; et en Amazonie, du manioc. Les Américains ne pratiquaient que très peu la domestication, si ce n’est pour aider à transporter, comme les lamas par exemple.
À partir de chaque foyer la pratique agricole s’est diffusée par contact entre les populations. L'agriculture créée au Proche-Orient s'est diffusé principalement vers le nord-ouest, c'est-à-dire vers l'Europe, le Maghreb et l'Asie occidentale. Peu à peu au gré de l’histoire, certaines cultures se sont diffusées au monde entier : la banane, domestiquée en premier en Nouvelle Guinée par exemple.
Quant à la question des raisons qui ont poussé les hommes à inventé l’agriculture et l’élevage alors que tous étaient des chasseurs/pêcheurs-cueilleurs, elle demeure complexe. Vraisemblablement, ils ont commencé l'agriculture avec l'arrivée de la sédentarisation. En effet les nomades, ces chasseurs-cueilleurs ayant localement assez de gibier et de céréales se sont sédentarisés en ayant suffisamment de ressources sur certains territoires. Le changement climatique y fut sans doute pour quelque chose. Il a permis des récoltes plus abondantes à certains endroits, ce qui a poussé les gens à se sédentariser. Mais les récoltes abondantes n’étaient pas assurées chaque année ; ils ont donc dû se mettre à stocker leurs récoltes, ce qui engendre la formation d’une hiérarchie dans la société.
De plus, du fait qu'ils se sont rendus compte que les récoltes pouvaient repousser, ils se sont mis à contrôler leurs récoltes et aussi créer une agriculture ; ils se sont aussi mis à l'élevage, tout d'abord de loups (pour aider à chasser), mais aussi à l'élevage de moutons (pour notamment la viande, la laine et le lait pour la production de fromage). Mais d'un foyer à un autre, les causes de la sédentarisation et l'invention de l'agriculture, et de l'élevage ont pu varier.
Aujourd’hui, dans certains lieux, il y a encore des chasseurs-cueilleurs. Cette activité se pratique dans les espaces à faible densité, particulièrement en forêt équatoriale comme les Akas en Afrique centrale. Ce n’est pas par ignorance de l’agriculture qu'ils persistent à pratiquer la chasse et la cueillette : les Akas par exemple sont en relations constantes avec leurs voisins sédentaires et agriculteurs. Si ces peuples ne pratiquent pas l’agriculture et l’élevage, c’est parce qu’ils refusent tout acte de domination sur les animaux. C’est notamment le cas des Awá, qui vivent dans l’état du Maranhão en Amazonie brésilienne. Ces peuples sont souvent en voie de disparition, particulièrement au Brésil du fait du développement économique. Dans ce monde en perpétuel mouvement, toute culture fondée sur l’intangibilité de valeurs et de traditions est donc vouée à disparaître.
Nous en concluons que l’agriculture et l’élevage ont eu plusieurs formes et à plusieurs périodes. Au Proche-Orient, les premiers paysans ont davantage utilisé l’agriculture plutôt que l’élevage tandis qu’en Afrique, les peuples ont davantage pratiqué l’élevage.
Ensuite, au cours des siècles, les types de ressources alimentaires se sont étendus au monde entier et aujourd’hui les pratiques agricoles se sont uniformisées. Seuls certains peuples ont fait le choix de continuer à vivre de pêche, chasse et cueillette, mais ils sont en voie de disparition.
Aujourd'hui : taille de la vigne, semis de mil (variété 60 jours), de pois (pois à grains ridés téléphone à rames), de haricot (haricot nain mangetout Velour) ; semis de tournesols dans le patio.
Les tournesols commencent à germer, ainsi que les potirons. Dans le patio, on aperçoit également les premières feuilles de bourrache le long du chemin. Les premières framboises sont mûres !
Aujourd'hui, nous avons commencé par désherber les fraisiers… l'occasion de déguster les fraises !
Nous avons ensuite récolté la moitié des pommes de terre (et nous en avons replanté en espérant une récolte à la rentrée). Nous avons également récolté les carottes nouvelles. Quant aux pois, nous avons trop attendu, ils sont trop secs pour être dégustés, mais pourront être resemés l'an prochain.
Les premières courgettes se forment, tandis que le maïs germe. Les radis que nous avons laissé monter commencent à fructifier ; il faudra penser à récolter les graines pour les ressemer.
Nous avons également arraché la folle avoine afin de dégager le blé qui s'était ressemé tout seul. Les chaumes serviront à pailler le jardin.
La vigne est en fleur. Le beau temps lors de la floraison permet d'espérer une belle récolte, dans 110 jours (vers le 28 septembre).
Tout d'abord, nous avons semé des tournesols (tournesol des jardins, tournesol à petites fleurs).
Ensuite nous avons semé des betteraves de Détroit et des carottes Touchon.
Après nous avons semé des potirons (rouge vif d'Étampes).
Nous avons récolté les radis (de 18 jours), ils étaient parfait (notre salaire). Nous avons aussi dégusté les fraises.
Nous avons arrosé tout le jardin.
Les semences prévues pour mai sont enfin arrivées…
Nous avons pu semer deux rangs de maïs, de deux variétés différentes : « doux golden Bantam » et « maïs des indiens » (à grains multicolores). Ils ont été semés de part et d'autre des courgettes, dont le feuillage maintiendra l'humidité du sol (comme dans la milpa mexicaine).
Certaines espèce de la prairie fleurie semée à l'avant du potager se resèment toutes seules depuis deux ans, et continuer d'attirer les insectes pollinisateurs.
Y fleurissent en ce moment notamment le coquelicot, la nielle des blés, et le bleuet. Ces espèces autrefois abondantes au sein des cultures extensives se raréfient aujourd'hui du fait des pratiques agricoles plus industrialisées et intensives.
Les radis forment un tubercule (la partie consommée) aussitôt après la germination. Si on les ramasse pas, comme c'est le cas ici, ils montent en fleur. Le tubercule n'est alors plus consommable. L'intérêt pour nous est de laisser la reproduction se faire, et de pouvoir ensuite récolter les graines pour les resemer : nous devenons ainsi autonomes, et sélectionnons les individus les plus adaptés au terroir du lycée.
Sur les photographies ci-dessous, on distingue la structure caractéristique des fleurs de brassicacées (crucifères) : quatre sépales, quatre pétales, six étamines autour du pistil.
Les pommes de terre également sont également en fleurs (en même temps qu'elles forment les tubercules sous terre). L'intérêt de récolter les graines est moindre, puisque l'on peut tout simplement conserver quelques tubercules pour les replanter ensuite. Ce faisant, on effectue de la reproduction asexuée, en obtenant un individu génétiquement identique à l'individu initial.
La fleur de pomme de terre est également typique de sa famille, les solanacées avec cinq pétales soudés formant une étoile, et au centre cinq étamines dressées et réunies autour du pistil.
Nous avons dégusté les premières fraises de la saison ! Délicieuses !
Nous avons repiqué les quatre pieds d'aubergine semés dans la serre avant les vacances.
Les derniers pieds de tomates ont également été repiqués, notamment en association avec les courgettes.
Nous avons également effectué un paillage des tomates, en effectuant un double paillage : orties plus ou moins broyées d'abord, pour leur richesse en azote, puis paillage avec les graminées fauchées à côté du potager.
Les fraisiers sont très beaux, et commencent à donner leurs premières fraises. Les framboises viendront plus tard.
Les pois semés sous la serre commencent à donner, tandis que les carottes qui leur font face commencent à former discrètement leurs tubercules.
Les courgettes repiquées se développent bien. Les deux pieds de melons quant à eux semblent avoir un développement très ralenti.
Les fèves commencent à fleurir. Les pommes de terre se développent bien ; on espère pouvoir en tirer au moment de la fin des cours.
Les radis semés avant les vacances sont bien avancés, et auraient dû être ramassés plus tôt. De nouveaux radis sont régulièrement semés depuis la rentrée des vacances, afin d'avoir une production régulière jusqu'à la fin juin. Il faudra penser à les arroser régulièrement.
L'oseille et la menthe plantées se développent très bien, de même que la rhubarbe. La seule sauge qui ait poussé à partir des semis semble avoir bien pris.
Du côté de la vigne, les grappes sont maintenant bien visibles. Concernant les fruitiers, les figues ne sont pas encore mûres, et les premières pommes et pêches apparaissent.
Nous avons repiqué le basilic (variété "marseillais") entre les pieds de tomates du potager, et nous avons paillé le tout avec du compost.
Nous avons également récolté les radis, qui n'avaient que trop attendus (beaucoup ne sont plus guère consommables).
Enfin, nous avons déplacé l'hôtel à insectes, afin qu'il soit plus au soleil et plus visible.
Nous avons commencé par butter les pommes de terre, puis nous avons éclairci les radis pour qu'ils ne poussent pas trop près les uns des autres. Ensuite, il a fallu arroser les carottes et les pois. Nous avons aussi semé encore des radis et de la ciboulette.
Nous avons repiqué une partie du basilic semé en godets dans la serre. Les pieds repiqués aujourd'hui sont ceux de la variété « géant monstrueux mammouth » (rien que ça !), qui a la particularité d'avoir de grandes feuilles.
Certains pieds ont été repiqués dans un des bacs du patio (le plus proche du hall), à côté du même basilic qui y avait été semé (et qui commence à peine à germer). Les autres pieds ont été placés entre les tomates du patio, car il les protège de certains parasites.
Dans le même bac que celui du basilic, la ciboulette commence enfin à germer ! La sauge, quant à elle, ne semble pas avoir germé : même en godets sous la serre, seule un pied a été obtenu, qui a été repiqué au potager, à côté de l'oseille.
Dans le second bac, quelques pieds d'aneth seulement ont germé, et se développent péniblement…
De nombreux plants issus des semis sous la serre ont été repiqués en terre.
Seuls deux melons (de la variété « César ») ont germé : l'un a été placé derrière la serre, l'autre au milieu du potager.
Un troisième plant de courgette a également été repiqué dans le potager.
Les tomates les plus avancées ont été repiquées, les unes en bordure du potager, les autres dans le patio (au pied des fenêtres du CDI) entre les pois et les fèves.
La planche de pois sous la serre a également été désherbée, en préservant les pieds de tomates qui se sont resemés naturellement (à partir des tomates qui se trouvaient là l'an dernier). Les framboisiers ont continué à être dégagés.
Ont également été désherbés les bacs en bois du patio, afin de dégager les « simples » qui y ont été semées ou plantées.
Plantation de deux pieds de courgettes (semés sous la serre), et désherbage des framboisiers qui commençaient à être envahis par les orties.
Semis de radis et de persil.
Les plantes ont bien poussé pendant les deux semaines de vacances ! Les radis sont prêts à être consommés, les pommes de terre son sorties, les fraisiers sont en fleurs (les premières fraises — encore vertes — sont apparues).
Dans la serre, les pois sont en fleurs, et les carottes poussent. Deux chênes (sur les trois glands semés) se sont maintenant épanouis. Les semis en godets sont prêts à être plantés en terre.
Nous avons butté les pommes de terre, et paillé les fraisiers. Il a également fallu arracher les chardons qui poussaient dans les semis de persil (qui n'a pas germé…).
Une seule des rhubarbes transplantées il y a deux semaines semble avoir pris : on distingue une nouvelle feuille prête à se former.
L'effet de la température sur la germination est bien visible en comparant les mêmes pois, selon qu'ils ont été semés sous ou en dehors de la serre.
Voici les premières images publiques d'un des hérissons du lycée !
Plusieurs hérissons vivent au lycée. Ils hibernent notamment dans les tas de branches, de bois mort, sous le compost ou dans les haies.
Même en dehors de la période d'hibernation, entre mars et octobre, le hérisson n'est actif que quelques heures pendant la nuit (il dort 18h par jour)… Il n'est donc pas si courant de rencontrer un hérisson de jour ; c'est d'ailleurs souvent le signe d'un individu malade.
Celui-ci explorait les pelouses autour du potager, vers six heures du soir, à la recherche des limaces et petits escargots dont il se nourrit.
Il n'était pas trop apeuré par notre présence, puisqu'il ne s'est pas totalement mis en boule (on distingue son œil en train de fixer le photographe).
Il pouvait paraître trop ambitieux d'apporter d'aussi longues brindilles dans le nichoir, mais la mésange a fini par réussir à les introduire — après de nombreuses tentatives quand même…
Depuis la salle 103, on voit très bien les allers-retours d'un merle (plus exactement d'une merlette) allant chercher des brindilles pour construire son nid dans la haie de lauriers-cerise contre le stade.
On peut également apercevoir un rouge-gorge, qui récupère plutôt des mousses.
Au potager :
-semis de persil, de radis ; plantation de rhubarbe
-semis de tomates et de courgette (dans la serre)
Dans le patio :
-semis de basilic, ciboulette, persil, aneth, coriandre dans les bacs en bois
-plantation de rhubarbe, semis de bourrache, sauge, pois, fève
Aujourd'hui, semis de radis. Et semis de cardère cultivée, une espèce qui a failli disparaître, et dont les graines sont distribuées par la Hulotte pour la préserver.
Malgré la saison déjà avancée, nous avons enfin effectué une taille de formation sur la plupart des fruitiers du jardin (pêcher, pommiers, pruniers, poirier, actinia=kiwi, figuier).
Aujourd'hui, plantation de pommes de terre, échalotes, oseille ; semis de pois, carottes, radis ; semis de tomates, basilic, sauge, melon…
Dans le patio, plantation de thym, menthe, romarin.
Au printemps, la sève remonte depuis les racines, jusqu'aux bourgeons. Cette poussée racinaire se voit très bien sur la vigne, où elle forme les « pleurs de la vigne » au niveau des sarments qui ont été taillés.
Les bourgeons commencent à débourrer (éclore). Les insectes sont à nouveau actifs, comme ce papillon (une petite tortue) qui butine les premières fleurs.